Libre pensée

« Ceux qui ne peuvent pas voir la petitesse dans leur propre grandeur ne sauront pas davantage percevoir la grandeur dans la petitesse d’autrui. » Le réalisateur africain Dani KOUYATÉ fait de cette maxime de Yoshi OIDA la pierre angulaire de sa bâtisse artistique en son passage terrestre et les plus futés des artistes qui lui sont contemporains l’observeront et l’imiteront pour le triomphe de l’art.
Comme c’est beau lorsque l’art, le vrai,vibrant de l’énergie à lui propre et intrinsèque sans artifice ni fioritures dans sa fréquence cosmique séante dédiée par l’énergie première sans aucune interférence vibratoire sonne ainsi sa note initiale, celle par laquelle commence la musique : le silence, ce silence qui induit l’introspection et la maturation qui précèdent la parole et l’action créatives appropriées car, c’est cela qui donne le « La »à la symphonie sacrée et en cette matière l’échec ne se justifie pas et le succès n’a pas besoin d’explication.
28 ans, ma parole ! 28 ans après « Sya, le rêve du python » quelle patience dans le travail, la foi, la passion et l’humilité sans jamais recriminer, quelle abnégation ! Ainsi donc, il est des revanches dont le plat se mange froid ! Merci maître Dani pour la leçon.
Bravo Katanga
Bravo Dani
Bravo toutes les équipes (artistique, administrative, logistique et technique) et au suivant de ces épisodes puisque l’avenir a un long passé.
Ildevert MEDA
Dramaturge.